- L’obésité peut être traitée à l’hôpital par le biais d’un accompagnement ou de chirurgie
- La relaxologie et le travail sur ses émotions peuvent être envisagés
- L’obésité arrive à tout âge. Les établissements scolaires veillent à l’équilibre des repas
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) alerte, en mai, sur une “pandémie de surpoids et l’obésité”. Face à une aug mentation croissante de l’obésité chez les adultes et les enfants, en France et dans toute l’Europe, les lieux de soins se multiplient depuis plus de dix ans.
Le docteur Radais, chirurgien digestif et chirurgien de l’obésité à l’hôpital de Paray-le-Monial, explique que les femmes sont souvent plus sujettes à cette maladie. Les raisons évoquées seraient des grossesses successives, mais aussi des régimes à répétition mal exécutés. Les patients qui souffrent d’obésité peuvent avoir entre 20 et 60 ans à la clinique. Dans ce service, on traite cette maladie avec ou sans intervention chirurgicale. Une équipe composée d’un chirurgien, de diététiciennes, de psychologies, d’enseignantes APA, d’infirmières et de secrétaires, est là pour accompagner les patients. Ils sont d’abord reçus en consultation par plusieurs spécialistes pour faire le point sur leur parcours et habitudes de vie. Un rééquilibrage, et non un régime, est mis en place dans un premier temps. Il faut aussi reprendre une activité physique, même très légère. Quand les possibilités classiques sont épuisées, une aide chirurgicale peut être envisagées : anneaux.
gastriques, sleeve, by-pass…